Nom : De Solitar
Prénom : Tamir
Age : 1543 ans
Race (unique): Haut-Elfes
Profession (unique): Plus Grande des Magicienne et des Nobles (femmes) Haut-Elfes
Divinité(s): Nature et Mecha
Description physique ( 4 lignes minimum ) : Tamir de Solitar est une magnifique femme au cheveux longs et blond comme le blé. Un blond qui, même mouillé, reste blond. Au soleil, ces cheveux semblent presque blanc tant le jeune devient brillant. Grande d' un bon 1m80 et forte de 1500 ans d' entrainement au combat, Tamir est une femme à part entière qui as sut allier l' entrainement exigeant des soldats tout en conservant sa féminité. Ses formes avantageuses, ses courbes parfaites, son visage doux et agréable, où flotte très souvent un leger sourire amicale, à tôt fait de vous mettre en confiance. Ses yeux sont d' un bleu vif très clair et brillant, ou brille une pointe de malice et de gaminerie. Oui, il faut savoir sourire dans la vie.
Comportement (4 lignes minimum) : Elle est très contradictoire: Elle aime s' amuser et pourtant est la plupart du temps sérieuse et studieuse, elle aime crier chanter et dancer, mais éxige le calme et le silence lorsqu' elle lit. Elle sait qu' elle est jolie et qu' elle fait craquer nombre d' hommes, mais n' utilise pas pour autant ses avantages aléatoirement. Elle est assez calculatrice et manipulatrice, à la même façon que Neferata. Depuis que Nature et Mecha, où bien est-ce Chaos? Lui ont révélé ces visions, elle à constater qu' elle arrive à manipuler deux élement: l' eau et le feu. Aussi cherche t-elle toujours à améliorer ce don qu' elle à recut des Dieux.
Peur(s) : De Nécroma
Faiblesse : Les pouvoirs de Neferata. Les pouvoirs de ses deux femmes sont à la fois complémentaires et opposés, ils sont égaux.
Histoire (10 lignes minimum) :
Il faut savoir que l' Histoire de Tamir à pour commencement la même que celle de Neferata. Toute deux naquirent la même année, du même père, le précédent Patriarche Noir de Nécroma. Seulement, tandis que la mère de Neferata était une grande aristocrate Elfe Noir, celle de Tamir n' était qu' une simple esclave servante Haut-Elfe qui ne survécue même pas à l' accouchement de sa petite fille.
Orpheline des la naissance, le destin de Tamir aurait normalement dut d' être jeté dans le Fleuve de Sang, en offrande à Chaos en raison de sa situation d' orpheline. Seulement, elle fut recueillit par une autre servante de Nécroma, une vieille femme qui c' était liée d' amitié avec la mère de Tamir. Cette dernière savait depuis longtemps qu' elle ne survivrais pas à l' accouchement, car les condition de vie qu' elle avait, bien que plus supportable que celle de ceux qui travaillent dans les champs et les mines, n' étaient pas suffisante pour sauvegarder sa santé. Aussi elle et la vieil femme avait tout prévu: elles avaient fabriquer un panier en osier, enduit de Poix.
Pourquoi? Car cette enfant née de la dernière des magicienne Haut-Elfes elle-même née à l' époque de l' ancien temps, c' est à dire à l' époque où la Bulle anti-magie n' était pas encore active, et du Premier Patriarche Noir de Nécroma, était destinée à un grand avenir. Un avenir qui jamais ne se réaliserais si l' enfant devait rester à Nécroma et y supporter l' esclavagisme des Elfes Noirs. Aussi, profitant que la lune soit morte, le vieil femme déposa Tamir dans le panier et l' emmena près du Fleuve de Sang.
Là, elle déposa le panier sur le fleuve, déposa le couvercle dessus, et abandonna Tamir au caprices du Fleuve des Suppliciés, la Veine de Chaos. Le Panier, porter par le courant, dériva et dériva durant une journée entière, poussé par une sorte de vent pour le moins peu naturel et un courant contraire à son habitude.
1 journée plus tard, alors que le Père de l' actuelle Duc d' Atyion était en train de chasser dans une forêt au Nord du Royaume, il entendit des cris venant de la Rivière Rouges. Ce nom avait été donné par les Elfes à cause de cette substances rouges que l' ont retrouvait parfois, sans savoir d' où elle venait ni ce que c' était.
Lorsqu' il s' approcha du fleuve, il vit, coincé entre un rocher et un tronc d' arbre abattue, un petit panier en osier d' où émergeait les cris qu' il avait entendu. Tirant son épée, il s' approcha du dit panier, souleva de la pointe de son arme le couvercle et...
-Par les Dieux! Un enfant!
Oui, c' était Tamir. Enfin, plutôt celle qui allait le devenir. Car à ce moment là, le nourrisson n' avait toujours pas de nom. Emportant le bébé avec lui, le Noble retourna chez lui, abandonnant sa partie de chasse et le sanglier qu' il traquait depuis des heures. Quelques jours plus tard, lorsqu' il revint à Atyion, il confia l' enfant à sa femme qui, de suite, s' attacha à cette petite fille, autant qu' à l' enfant qu' elle portait dans son ventre. Cet enfant est à présent l' actuelle Duc d' Atyion, mais cela reste anecdotique.
Tamir, mot Elfique signifiant "bénit par les Eaux", grandit donc dans l' une des plus grande maisonnée des Haut-Elfes, sans pour autant jamais se sentir chez elle. Jusqu' à une période pas si éloignée que cela, elle fut convaincu d' appartenir pleinement à la race Haut-Elfe et la maisonnée d' Atyion. Seulement il y avait toujours se pressentiment de ne pas se sentir à sa place, d' avoir sur soi cette tâche ineffaçable. mais qu' à cela ne tienne, Tamir recut l' éducation qui allait avec son rangs de Nobles: elle apprit à lire, à écrire, le chant, la musique, la danse, la couture, l' arithmétique, la rhétorique, l' éloquence, l' astronomie et le maniement des armes telle que l' épée simple et la lance. Très vite, elle se passionna pour la politique, la nature et la religion. Elle entra même au service du temple de Nature durant une soixantaine d' année. Bref, elle était intelligente, ne le cachait pas, en était fière,e t semblait près à gravir tout les échelons du cursus honorum des Haut-Elfe, même si cela était résèrvé aux hommes.
Mais voila, il y a quelque mois, alors qu' elle se baladait à cheval près de l' endroit où son père à ce moment décédé l' avait retrouvée près d' un siècle et demi plus tôt, elle fut désarçonner de son Cheval à cause d' un épouvantable mal de crâne dut à des visions. Dans ces dernières, elle ne cessa de voir le viol de sa mère par un inconnue à la peau blafard, une vieille femme transporter avec elle un panier en osier dans lequel était déposé un enfant endormi, une petite fille qui jouait dans un immense Hall d' entrée (celui de son palais à Atyion!), de voir cette fille grandir au cours d' épisodes anecdotiques et finalement devenir cette femme qu' elle était. Mais les vision ne s' arrêtèrent pas là: la dernière vision qu' elle eut fut une femme, tout de noir vétut, au cheveux de jais se tenant sur le toit d' un palais, le palais gris, y planter un drapeau représentant un arbre mort entouré de crânes, dégainée par la suite son épée et crier de joie devant la ville à feu et à sang qui s' étendait à ses pieds.
Tout devint clair dans son esprit, sans savoir comment ni pourquoi. Elle savait exactement ce que chaque images représentait. Pendant qu' elle rassemblait dans sa mémoire tout ce qu' elle venait de voir, surtout la dernière vision, d' étrange fumée immaculée rampant au sol et formant un cercle autour d' elle, s' approchèrent de Tamir et l' enveloppèrent doucement dans une sorte de cocon de fumée inodore. Puis le cocon sembla exploser. Du cœur de Tamir jaillit une lumière éclatante et éblouissante qui fit exploser le cocon de fumée, provoquant dans la jeune femme une douleur des plus atroce, lui faisant lâcher un cri de peur et de douleur: le premier depuis son enfance.
Lorsque la lumière se tarit, Tamir était là, étendue au sol et pourtant consciente. Elle se relevat, un peu chancelante, réenfourchat son cheval qui ne l' avait pas quitté, et se précipitat au triple galop vers Néaring.
Information, divers :