Prophetie?

Alors que Maya et sont gouvernement discutaient tranquillement des problème a régler sur la crise qui naissait partout à Springvalley, des éclats de voix se firent entendre à l'entrée du sanctuaire.

Un vieillard accompagné d'un immense cerf entra bousculant tout les gardes qui tentaient de les en empêcher.

-Place, place, criait-il pour que le laisse passer.

-j'ai a parler à notre Grande Bestiale.

Arriver devant Maya il s'inclina, et prit la parole.

Ma grande Maitresse, vous pourrez me décapiter si bon vous semble mais avant écoutez moi.
sans attendre il reprit.
-vous ne pouvez me connaitre car je ne suis pas née ici, mais étant de votre peuple je demande votre écoute.

Lorsque les villes se couvriront de morts,
Lorsque la terre se couvrira de sang,
Lorsque les cieux se couvriront de feu,
Les Créations se rappelleront cette antique lame,

Gardienne de la Magie de Nature,
Protectrice du Pouvoir de Mecha,
Detentrice des Ténèbres de Chaos,

Cette lame dont l' emplacement fut un jour connu de tous,
Cette lame dont le plan était placé à la vue de tous,
Ce plan perdut lors de la guerre d' Eroïn le Fou,
Ce plan qui doit être retrouvé,

Cette arme qui doit être chercher,
Cette arme qui doit être detenut,
Cette arme qui peut anéantir,
Ce qu' Esprit lui-même ne saurais détruire....
telle est la Prophétie qui sera transmise au grand de ce monde et que cette avertissement ne soit oublié tant que la menace d'un conflit régnera en c'est lieu.

essoufflé il tomba au pied de Maya.
à son age il avait déjà accompli ce qui en aurait tué bien d'autre.

La Grande Bestiale discutait tranquillement avec son gouvernement de protéction des frontières, fortifications et amélioration des troupes; les idées étaient celles-ci de la part de la femme sauvage :

- Nous, être avantagés face a ennemis. Eux, pas avoir nature avec eux; nosu pouvoir nous lier à animaux et améliorer nous. Et...

C'est alors qu'un vieillard entraient brusquement dans la pièce, Maya se mit à sauter sur palce tel un animal surpris pour attraper d'un geste ses lames et les placer contre la gorge de l'homme; elle se mit à l'observer de ses yeux vert, comme un prédateur qui observerait sa proie pour finalement le renifler légèrement. Après une petite étude elle rangeait ses lames dans son dos et saluait le cerf avant d'aller s'assoir; et sans un mot elle s'assit sur la fourrure qui lui servait de siège pour regarder le vieillard, cela signifiait qu'elle allait prendre le temps d'écouter son récit.

Une fois celui-ci terminer, elle se relevait quand l'homme tombait inconscient sur le sol; elle se mit à jeter une regard noir aux gardes qui compris tous de suite qu'ils devaient aller vite chercher de l'eau. Alors que tous s'occupait du vieil homme, Maya s'approchait en attendant du cerf en lui chuchotant doucement dans l'oreille :

"Bienvenue à toi noble cerf, toi et ton maitre avait dû faire une longue route; sache que vous êtes les bienvenues et en sécurité...du moins pour l'instant. Bois et mange autant que tu veux, se qui est à moi et à toi."

Puis elle s'éloignait pour se rapprocher de l'elfe allongé sur le sol à qui elle fit boire de l'eau ramené à l'instant par les gardes.

- Amenez lui chez-moi. ordonnait-elle au garde qui exécutèrent.

Une fois installer sur la paillasse qui servait de lit à Maya, celle-ci attendait son réveil juste à côtés; l'observant dormir d'un regard interrogateur.

L'étranger ouvrit un œil scruta la pièce dans la quelle il était, et quand il aperçu Maya il ouvrit le second.

-Bonjour jeune demoiselle je vois que ma comédie a marcher. Ne vous inquiétez pas, c'est juste pour vous parler en privé que j'ai fait cela.

Il se redressa sur la paillasse

-L'heure est grave et certaines légende resurgissent du passé...

c'est mots à peine prononcés il s'éffondra sur lui même sa main droite plaqué sur son cou.

-... la fenêtre, dit-il en agonisant.
j'aurais du me méfier.

-écoutez bien cela, sa respiration devenais plus lente et saccadé. Les tenebres frappe de nouveau cette vallée et cette fois nous n'avons pus l'arréter, notre tache étaient de vous prevenir,... mais ...

Le vieillard ne finit pas sa phrase. Il perdit la vie après quelque spasme musculaire.

Maya observait l'homme sans boucher, elle était adosser contre le mur et lorsque celui-ci parlait de comédie de sa part pour être seuls, un regard de pur incompréhension se fit paraitre sur son beau visage.

- Vous pas souffrant alors? Vous mentir à moi pour rester seul? Vous vouloir moi?

Avait-elle commencé à demander quand soudain quelque chose de petit se mit à filer droit dans le cou du vieillard qui tombait au sol; Maya étonné se mit à côtés de lui pour écouter ses dernières paroles. Et c'est après quelques spasmes musculaires que sa vie s'arrêtait; tout en posant sa main sur ses yyeux pour les fermer, celle-ci récitait une prière à l'intention de nature pour qu'il prenne soin de lui.

Elle finit par se lever avec le cadavre dans les bras et le tendre à un garde devant la hutte. Elle lui ordonnait ceci :

- Toi, enterrer lui dans cimetierre à nous. Moi m'occuper de bois tombal plus tard; je pars chasser.

C'est alors que Maya s'élançait dans la forêt dans la direction d'où venait le tir qui avait tuer l'homme; à présent elle recherchait des traces ou alors elle utilisait son ouïe et sa vue pour retrouver le tueur.

L'assassin si il y en avait un devait être bien caché, car dans la cité arboricole rien ne paraissait anormal.

Le lieu d'où avait été tiré la fléchette empoisonnée était une petite maison au troisième niveau, une résidence habité par un jeune couple depuis déjà 100 ans au moins.
ce qui paraissait encore moins probable c'est que ce lieu étant le seul angle de tir, se situait a plus de 500 mètre de la fenêtre.

les chemins de terres donnait accès au mur mais la fenêtre était bien trop haut pour y grimper.

-Votre seigneurie s'adressa un homme robuste et armé a Maya Le corps du vieux a été dérobé pendant son transfert, nous avons
engagé la poursuite mais l'agresseur à disparu aussi rapidement qu'il
était arrivé.

Il attendait un réponse des marches à suivre tracassé par la réaction de sa maitresse.

Alors que Maya regardait, reniflait et fouillais tout endroit à la recherche de l'assassin, un des gardes vînt à sa rencontre pour lui annoncer que le cadavre du vieillard avait disparut; celui-ci prit par le meurtrier qui semblait aussi rapide qu'un léopard et agile qu'un singe. La Grande Bestiale fit alors face à l'homme annonciateur de mauvaise nouvelle pour le regarder de son regard de prédateur. Finalement elle s'approchait de lui pour tendre la main vers son visage et lui tapoter gentiment la joue.

- Pas grave, toi pouvais rien faire contre Léo. Toi Vas chercher gouvernement pour continuer parler dans grande hutte; mais pas même sujet.

Elle se mit donc à marcher en direction du centre du village dans la hutte du conseil pour y attendre les membre de son gouvernement et parler de cette sombre prophétie et d'un ennemis inconnu. Une fois arrivé à destination, elle s'installait sur sa paillasse tout en déposant ses deux lames sur la table en bois ciselé face à elle. Elle était prise à présent dans ses pensés; dans sa tête se répétaient de façon continue les paroles du vieil homme. De quoi pouvait s'agir cette prophétie? Qui était l'assassin? Qui est cet ennemis qui se dresse face à eux? Toutes ces questions, Maya se les posaient sans pouvoir trouver une réponse.

C'est alors qu'elle fut arraché de sa rêverie par l'arrivée des membres de son gouvernement; une fois tous assis, la pipe à la bouche à l'observer, elle se redressait pour parler d'un voix forte :

- Amis ! ténèbres prendre-nous bientôt d'après prophétie que vieux à rapporter. Nous devoir faire recherche dans passé pour savoir se que elle veut dire; mais savoir quelque chose ou connaitre quelqu'un savoir quelque chose? Si ça est cas, moi ordonner vous de le dire devant tous amis.

Elle se mit à réfléchir aux premières paroles pour les citer :

"Lorsque les villes se couvriront de morts,
Lorsque la terre se couvrira de sang,
Lorsque les cieux se couvriront de feu,
Les Créations se rappelleront cette antique lame"

Tous furent étonnés de la voir prononcer ces phrases si bien, mais cela s'expliquait facilement, Maya avait une très bonne mémoire.

- Au pire si nous pas trouver information, nous attendre signe dis par vieux. Mais moi avouer à vous que moi aimerait que signes arrives pas et que vieux soit fou. Donc moi demander vous de chercher et informer moi.

Sur ces paroles, elle se rassit pour les observer et attendre des questions ou des remarques.

Maya observait l'elfe d'un regard interrogateur; celui-ci disait qu'il y avait surement des informations dans la cité d'Erode. La grande Bestial se mit debout tout en s'étirant pour se diriger vers son interlocuteur et le saisir par sa veste pour le relever, plongeant ses yeux émeraude dans ceux de l'érudit avant de lancer un regard général à l'assemblée.

- Lui et moi allons nous rendre à Erode pour trouver des informations. Vous, nous suivre si vous le souhaitez.

Elle se dirigeais donc sans un mot vers la sortie de la salle; empoignant violemment l'elfe sauvage sans s'en rendre compte et trainer jusqu'à l'extérieur. Ils traversèrent finalement une multitude de pont en bois et de toboggan finement sculpté et arrivé dans la chambre de Maya. Là, elle prit une sacoche où elle y rangea un peu d'or, de la nourriture et de l'eau; assez pour un voyage. Sans lâcher son nouveau compagnon, comme-ci elle avait peur qu'il s'enfuit, elle entrait dans une sorte de tunnel creuser dans un tronc et glisser jusqu'en bas par l'intermédiaire d'un grand Toboggan. Une fois en bas elle pénétrait dans la forêt avec l'érudit.

- J'ai besoin de toi pour faire les recherches et me guider dans Erode. Expliquait-elle simplement .

Tout deux étaient à présent plongés dans les profondeurs de la Brocalide, mais ceux-ci n'avançaient pas dans la bonne direction; n'importe quel elfe sauvage pouvait constater que les deux individus se dirigeaient vers l'autel du dieu Nature.

Après plusieurs minutes de marches rapides, ils arrivèrent enfin à destination. Maya libérait enfin l'érudit pour se mettre à genoux et prier à voix haute son dieu dans l'intention d'avoir sa bénédiction. Étrangement, les paroles de la Grande Bestial étaient correctes et sans aucunes fautes de prononciation; elle faisait un grand effort pour s'exprimer à Nature, se qui révèlait sa foi profonde pour le dieu.

- Ô Nature, protèges-nous dans notre périple. Protège mon peuple ainsi que la forêt des dangers extérieurs. Je promet de ramener un moyen de protéger les tes créations du mal et de la destruction. Quand je reviendrais de mon voyage, si la guerre n'a point éclaté, je ferais une grande fête en ton honneur.

Sur ces paroles, elle se relevait pour d'un signe religieux baisser la tête respectueusement. Après ces gestes, elle tirait le jeune elfe par le bras et le trainer dans les bois; dans la bonne direction cette fois-ci.