Délégation? Voilà Robin !!!

C'était lors de la nuit que un groupe de cinq elfes sauvages sortir des forêt de Brocalide; ce soir la lune et les étoiles étaient cachés par de grand nuages noirs, signe que le lendemain allait-être pluvieux. Les éclaireurs avançaient telles des ombres dans les territoires des Haut-elfes, se qui était nécessaire si ils voulaient réussir à bien leur mission donné par la Grande Bestiale elle-même. Le chemin était des plus dur car il fallait éviter soigneusement chaque patrouilles, contourner chaque avant postes et trouver de quoi se nourrir; mais heureusement les elfes sauvages ou des bois sont les meilleurs de se qui est de l'infiltration et la survie. Après plusieurs jours de marches et de pluies incessantes, le groupe pus apercevoir enfin leur destination au loin. Oui, la forteresse de Cirna luisait tel un diamant dorée à l'horizon; ils décidèrent donc d'accélérer le pas pour pouvoir l'atteindre pendant la nuit.

Après avoir coupé par les champs, la noble troupe pus effectivement arriver lors du crépuscule en face de la porte d'entrée de la cité. Sur les remparts nombres de garde patrouillait tandis que le soleil disparaissait derrière l'horizon pour faire place à la lune. Les elfes sauvages profitèrent donc de l'obscurité pour s'approcher devant les remparts en invisible et mettre en place leur stratagème. Déjà commencèrent t-il à installer une caisse trouvé quelques heures auparavant, et quatre brasero autour de celle-ci(qu'ils tenaient depuis le début du voyage dans leurs mains). Tandis que quatre elfes se positionnaient à côtés d'un brasero chacun avec deux pierres à silex dans les mains, le dernier montait sur la caisse, le regard tourné vers le haut des remparts.

- Allez-y ! Ordonnait-il aux elfe à silex.

Ceux-ci exécutèrent instantanément et dans une coordination époustouflante allumèrent le feu aux torches dévoilant ainsi un elfe sauvage dans un ensemble de vêtements vert. Il portait un chapeau à plume, un gilet à manches courtes qui dévoilaient ses bras maigres de muscles, des collant aux jambes et des petites bottines. Son visage était pâle avec des yeux bleu, accompagné d'une moustache et d'une barbe rasé en pointe. Dans ses mains se trouvait un luth qu'il fit retentir d'un mouvement de doigts pour finalement crier d'une voix de poète :

- Sombresoir AMIS Haut-elfes, nous venons là en paix de la part de notre chef adorée; j'ai nommé MAYA dite la sanguinaire.

Il se mit à faire retentir de nouveau son luth.

- Celle-ci m'envoie MOI, Robin de NURSElait à la rencontre de votre roi pour lui délivrer un noble message. Non pas une lettre d'amour, ni de la publicité ou encore une facture EDF, mais simplement.....UN MESSAGE !

Il se stoppait finalement pour d'un regard interrogateur se tourner vers les quatre elfes sauvage à ses côtés et leur chuchoter :

- C'était bien?

Tous levèrent le pousse en signe de confirmation.

- J'étais.....beau?

Ils levèrent de nouveau le pouce.

- Mais j'aurais pas dis une con...heu, bêtise à u nmoment.

Tous levèrent le pouce une troisième fois et provoquant un regard coléreux sur le visage du beau Robin; i lvenait de comprendre que ses compagnons ne l'écoutaient guère les questionner. Il se mit alors à crier :

- JE VOUS BOUDE VILES PECNOTS !!!!

Il se mit à croiser les bras et à regarder autre pars; les autres elfes l'air désolé se mirent à s'excuser, à se mettre à genoux et a dire des "Robin ont t'aime", "pardonne nous et joue de ta musique", "nous sommes navré mon Robin"

Une larme se vit alors couler sur le visage impassible de Robin qui se tournait vers ses compagnons déboussolés pour les serrer dans leurs bras et leurs chuchoter des : "Je vous aime", "je vais vous jouer votre chanson préféré". Soudain, i lse redressait et d'un mouvement de main essuyait les larmes coulants sur son visage pour se mettre à chanter et danser.

"Il était une fois un homme qui marchait,

Marchait...(chœur)

Celui-ci venait de marcher sur un gros clou,

Gros clou (chœur)

Et a peine se baissait-il pour l'ôter,

L'ôter... (chœur)

Qu'un gros et vilain Yak des forêt le violait,

Viooooolait....(chœur)


Violait,violait, violait, violait,violait....

L'HOMME QUI MARCHAIT"

Et la fête continuait à un point qu'il avaient oubliés les garde et pourquoi ils se trouvaient là.

A la venue de Alerïa, Robin se stoppait net face à une femme aussi séduisante; dans sa tête se mettait à jouer une musique à la fois exotique et érotique lui donnant des idées perverses. Il revînt alors à la réalité et descendit de sa caisse d'où il se mit à tomber d'une façon ridicule dans l'herbe pour, dans une agilité innée aux elfes se relever et saisir la main de la jeune femme pour l'embrasser délicatement.

- C'est un plaisir de vous rencontrez Alerïa. Avant que nous allions parler de choses fatigantes, je vais vous psoer une question : qu'elle est la plus belle fleur de ces terres?

Puis il se mit à lancer un sourire charmeur à la demoiselle et pendant qu'elle cherchait se tourner vers ses camarades qui lui faisait des signes de pouces levés pour montrer leur encouragement. Le sourire aux lèvre Robin d'un geste rapide se mit à regarder la commandante; d'ailleurs son regard tombait à de nombreuses reprise sur la poitrine volumineuse de son interlocutrice.

- Alors? Avez-vous trouvez? C'est pourtant simple, c'est vous ma chère.

Dans son dos les quatre elfes sauvage étaient en émerveillement face à leur idole Robin qui venait de sortir une phrase qui pour eux avait "la classe"; limite étaient-il entrain de se la répéter dans leur tête pour ne pas l'oublier.

En voyant le rire de la jeune elfe, Robin savait que ses charmes avaient portés leurs fruits et se mit donc à sourire de plus belle. C'est alors qu'elle lui fit elle aussi un compliment, d'un coup de douce musiques romantiques se mirent à jouer dans la tête de l'éclaireur.

- Oh ! mais mademoiselle, nous sommes des plus courtois; enfin je suis le seul mais bon... Mais la raison qui nous fait appeler elfe sauvage est tout simplement pour se que nous faisons la nuit; si vous voyez se que je veux dire.

Il se mit à lever et baisser ses sourcils de manière répéter tout en lançant de grands sourires. Quand soudain son visage changeait par une grimace qui signifiait qu'il venait de heurter le sens de ses paroles; il se mit à croiser le regard de ses camarades, ceux-ci le regardaient d'un regard sévère en chuchotant des : "Pervers !", "Et dire que c'était mon idole, pff !" Tout de suite d'un ton timide il disait afin de se rectifier :

- Non, mais HO ! je ne suis point de ce genre là moi. Je suis un gentleman, chanteur et un danseur exceptionnel MOI messieurs. Quand je disais... Il prit une voix différente "Mais la raison qui nous fait appeler elfe sauvage est pour se que nous faisons la nuit; si vous voyez se que je veux dire." Je voulais dire que la nuit nous chassons le Yak en criant comme des dingues.

Il prit un air indigné pour ne plus prendre la peine de regarder les elfes sauvages.

"Penser cela de moi, pfff ! je suis choqué par ces propos; si j'étais vous j'irais me perdre dans les bois tellement j'aurais honte."

Plusieurs vagues de "Excuse-nous Robin", "Nous sommes indigne de toi" se firent entendre en tant qu'excuses; le sourire enjôleur de Robin réapparu sur son visage et tout en se tenant la barbe il dit d'un façon assez efféminé :

- Aller, je vous excuse, car je suis compréhensif et généreux; Calin mes amis !

Il s'enlacèrent tous pour finalement suivre Alerïa dans la forteresse où elle les laissait dans une grande pièces remplit d'objet en tout genre; les yeux bleu de l'elfe sauvage étincelèrent de cupidité (il a des tendance de Kleptomane).

- Bien le merci à vous ma chère, j'espère vous revoir vite. Dit-il d'un ton charmeur.

Une fois qu'elle fut sortit, il se lavait en toute hâte pour se jeter sur les objets, quand soudain quelqu'un rentrait dans la pièce; il s'arrêtait net, prenant une pose quelconque et disant :

- Tiens, j'aime beaucoup la matière de cette...Fourchette.

Il s'agissait d'un domestique apportant des vivres et au moment où elle sortit, un choix difficile heurtait Robin : La nourriture ou l'argent?

* Si je ne choisis pas vite ces quatre abrutis vont tous dévorés; vite !!!*

Après quelques secondes de réflexions,il se mit à claquer des doigts; un air à la fois ravi et niais sur son visage.

*J'ai la solution !!!*

En un éclair il se jetait sur la table pour mettre à sa bouche pain et fromage tandis qu'il prenait le chandelier sur la table.

*Les deuuuuxxxxx.*

Il se mettait donc à manger et voler en même temps alors que ses quatre compagnons el regardaient stupéfiés avant de le rejoindre dans son action.

Alors que les elfes mangeais et volaient, la porte s'ouvrit et tous se mirent en position posé à siffler comme si de rien n'était (alors que partout sous leurs vestes et gilets dépassaient des objet en argent. Le personnage qui rentrait était un homme aux yeux de Robin des plus fashion et sexy; i lse nommait Jorge Mickael. Les yeux de l'elfe sauvage étincelèrent et d'un geste vif il s'approchait juste en face du diplomate pour lui tendre sa main et se présenter :

- Bonsoir à toi très cher Jorge Mickael, je me nomme Robin de Nurselait et c'est avec vous que nous devons le faire...heu, faire affaire.

Le même sourire qu'il avait affiché devant Alerïa apparu sur son visage joyeux, et là i lsortit une ohrase que tous els elfes sauvages de l'assemblé avaient déjà entendus :

- Savez-vous quelle est la plus belle fleur de ces terres?

Il se tournait alors vers ses amis avec un alrge sourire, ceux-ci faisaient des grimaces et faisaient un signe avec leur pouce montrant le bas. Le sourire de Robin disparut aussi vite qu'il avait fait surface et il se mit à regarder Jorge pour lui expliquer :

- C'est Alerïa la commandante bien sûr héhé !

* Je ne suis point gay, je ne suis point gay.* Se répétait-il dans sa tête avant de penser : *Mais pourquoi ne le serais-je pas?*

Puis il se remit à sourire mais d'une façon gêné pour simuler un tribuchement et dire en mauvais comédie navant de tomber dans les bras du diploamte :

"Ooooooooooh ! mince je tombe."

Arrivé assez prêt de l'oreille de sa proie il lui chuchotait d'une façon érotique :

- En réalité c'est vous la plus belle fleur héhé !

[T'inquiète pas Neferatanounette :p]

Robin était aux anges alors que le beau Jorge venais le prendre par derrière tel u nYak dans une forêt profonde et...humide. Puis au moment où i lse relevais il pris une mine indigné et tout en levant le menton d'un air fier et en fermant les yeux il dit ces mots à la manière d'un poète :

- Jamais au grand jamais ont ne me fouillera, je le refuse !

Dans son esprit, cela n'était qu'un stratagème pour que le diplomate n'utilise la force, se que l'elfe sauvage adorait particulièrement. Ses quatre compagnons, éblouis pas cette prestation rebelle impressionnante ne cessais de se chuchoter des : "Il gère !", "ça c'est notre beau Robin.", "Oh! Rebeeelleeee." Puis il prit un air sérieux, se mit à frapper dans ses main tout en tapant avec la même coordination de son pied droit (réflexe de musicien), tout de suite après les quatre elfes sauvage apportèrent la caisse qu'il avaient utilisés en face de la grande porte et robin dans un bon de daim se mit à monter dessus et à s'éclaircir la voix et à annoncer de sa belle voix cristalline :

- Je peux vous faire confiance sire Jorge Mickael et je vais de suite vous annoncer le message de notre maitresse adoré; a titre non-sexuel je vous rassure.

D'un geste agile avec son index et son pouce, il sortit un parchemin fermé d'un cachet vert de la poche intérieur de son gilet pour se mettre à le dérouler et lire :

"Salutation à vous, Moi, Grande Bestiale des elfes dis "sauvages" vous envois ce messager...." -Comment ça messager !? Je susi le Noble Robin tout de même ! bref, je continu même si je suis indigné. "Pour vous annoncer que même si j'ai un dégoût profond pour votre peuple, il me doit de le protéger et que le mieux même si j'en suis la première déçu et de s'allier au plus fort, qui si i lest intelligent ne refusera pas une aide supplémentaire. En gros je vous demande humblement une alliance entre nos deux peuples. Toutes mes salutations les plus distingués, signer : Maya dite la sanguinaire."

Robin se mit à crier de joie, si les haut-elfes acceptaient il allait pouvoir revoir Jorge et Alerïa; il s'arrêtait net pour dire d'un ton timide "Excusez-moi !" et se mettre à rougir. Il descendit de la caisse, tout en enroulant soigneusement le manuscrit et le glisser dans sa poche avec douceur. Il se mit donc à avancer jusqu'à être très prêt de Jorge Mickael et lu idire d'une voix efféminé :

- Voilà mon chou, c'est là les raisons de ma venue et je dois voir votre maitre au plus vite... Quoique c'est aps si pressé, ont à toute la nuit.

I lse mit à sourire après sa dernière phrase et à lever et baisser ses sourcils de façon répété.

Robin écoutait avec plaisir les dires de Jorge et était satisfait que celui-ci soit heureux de cette futur alliance, mais il restait le roi à convaincre. Cette mission, le messager... (- je suis pas un messager !)...Heu, le noble Robin prenait cette mission à cœur, faire que les elfes sauvage et les haut-elfes soit liés comme les deux doigts de la main; et cela rien que pour revoir son interlocuteur fort charmant.

- Certes, ma maitresse n'est pas une personne avec qui ont peu passer la nuit sans se lever le lendemain en boitant; mais cela fait son charme et je dois avouer que c'est une très belle femme. Et, je serais ravis de voir votre roi Enduril si i lest aussi charmant et poli que vous très cher.

Il lui caressait du bout des doigt son menton aux forme, selon Robin: Divine. D'un geste souple il ôtait sa main et se mit une pensée en tête :

* Mais que suis-je entrain de faire? C'est mal, comment ais-je pus penser cela une seul seconde. Je suis indigné de mon comportement; toucher de mes mains moite cette peau si parfaite est un outrage. Mias c'était si bon, et si c'est à refaire, je le referais sans hésiter. *

Après cette pensé, il put voir que le noble Jorge lui caressait tendrement la main, se qui eut pour effet de faire chavirer son petit cœur amoureux. Sur l'instant il aurait crier d'une façon très féminine si il ne se mordait pas la lèvre pour l'éviter; son amour venait de le toucher !

- Oh ! et bien je volerais tout de même mon cher, personne ne me dis quoi faire.

Les pokéfandeRobin se mirent à chuchoter des : "Ouai, Vas-y Robin.", "Ne te laisse pas faire.", "c'est pas parce qu'ont est numériquement inférieur qu'ont dois se laisser faire." A tous ses chuchotements, Robin ne pus cacher son sourire fier, et une larme de bonheur faillit couler sur son beau visage si il ne l'avait essuyer de sa main libre. Après la dernière phrase de Jorge, le noble pris la main du diplomate et dit :

- Oh ! oui, j'aime les profondeur emmener moi au plus profond !

Se qu'il firent main dans la main, suivis des quatre elfe sauvages qui ne comprenaient pas grand choses de la situation ambigüe qu ise déroulait devant leurs yeux remplis de Naïvetés. Une foi arrivés devant la chambre, il n'y avait que quatre lit...

- Oui, j'y suis bien obliger; mais laissez moi dire à mes compagnons des paroles de réconfort, c'est dur pour eux.

Il se tournait donc vers sa suite et leur chuchotais d'un ton grave :

- Mes amis, vous l'avez compris mais ils vont me torturer ou m'interroger; je vous demanderais pour le bien de notre peuple de ne pas intervenir.

Ils se mirent tous à pleurer sur les épaules du courageux Robin et lui souffler à l'oreille :

- Tu est courageux.
- Espérons que ton beau visage survive à cette épreuve.
- Ont t'aime !
- Reviens-nous vite.

Puis, il se tournait vers le diplomate et lui chuchoter aussi pour le rassurer :

- L'émotion, ne vous inquiétez pas. Nous y allons !?

Puis, main dans la main il s'enfoncèrent sous le regard triste des elfes dans les profondeur du château pour arrivé devant une chambre à un seul lit double; et là le poète allait s'exprimer quand Jorge Mickael lui fit un baiser. Les lèvres douce faillirent faire s'évanouir le beau Robin mais il prit un air indigné et tout en faisant dos à Jorge lui dit :

- Mon cher, je ne suis pas ainsi, je ne suis pas habitué; pardonnez-moi amis je suis outré.

Puis il fit volte-face et dis d'une voix sauvage :

- D'habitude c'est moi qui embrasse en premier !

Puis il se mit à sauter sur Jorge pour l'embrassser et le plaquer sur le lit et passer la nuit la plus chaude et excitante de sa vie.

Robin avait bien dormit, et après la nuit dernière à faire des galipettes trois fois de suite avec le beau Jorge, il était essoufflé et l'intérieur de son pantalon était tout collant; surement à cause de la sueur se disait-il. C'est alors qu'une odeur agréable vînt lui carresser les narine, celle-ci était la même que heir soir, non pas le parfum de son amant mais quelque chose spécifique à lui. Et quand il osait ouvrir les yeux il put constater avec merveille une biscotte au beurre en face de lui accompagné un bon verre de lait.

- Et bien mon cher, l'hospitalité des haut-elfe est aussi belle et grande que les hommes qui ont battit cette société; si ils sont tous comme vous bien sûr.

Il se mit à rire et à saisir son verre de lait qu'il bus cul-sec et dire d'une voix remplit de plaisir :

- Mmmmh ! du bon lait Milka; j'adore le lait que produit cette vache, j'ai pus y goûter en traversant vos champs et je n'ais pas hésiter à prendre connaissance de celle-ci et de gouter son lait fort somptueux. Comment avez-vous su?

Là, Robin de Nurselait repensait à cette vache et à se qu'il lu iavait dit en la voyant : "Savez-vous quelle est la plus belle fleur de ces terres?" Puis revoyant la suite des événements il ne put s'empêcher de sourire mais se mit vite à chasser ces pensés de sa tête et de plonger dans les beaux yeux de Jorge Mickael. Il prit alors une tartine et la mit à sa bouche pour la croquer avec douceur; le noble était si raffiné que aucune miette ne vint se glisser dans sa belle barbe soigneusement peigné en pointe. Il dit alors :

- Feuille-d'or ! mon préféré; je pense que nous sommes décidément fais l'un pour l'autre...

Le sourire de Robin disparut après ses dernière paroles car, il devait avouer quelque chose à Jorge mais n'osait pas; de peur de le perdre à tout jamais.

- Jorge vous savez...

Avez-t-il commencé lorsque celui-ci se mit à chanter et jouer un air de musique tellement beau et entrainant que l'elfe sauvage en eut oublier sa question et ne pus s'empêcher de laisser réapparaitre son sourire enjôleur. A la fin du morceau il applaudit de ses deux mains, une goutte lui coulant sous l'œil et qu'il essuyait avec délicatesse.

- Ooooh ! c'est si beau, si poétique; cette chansons me rend aussi gai qu'une hirondelle. J'ignorais que vous étiez musicien, je le suis moi aussi mais pas aussi bon que vous.

-Oh ! veuillez m'excusez, dans toutes ces émotions j'ai oublier de vous répondre; non je fume pas, je dois vous avouez que cela fait vieillir la peau et je ne voudrais pas abimé mon beau visage.

Avait-il dit d'une voix efféminé tout en levant la main à côtés de sa tête et en pliant légèrement le poignet.

Après plusieurs échanges, ils finirent par se rhabiller, mettant plusieurs heures; non pas que il était long de se préparer mais il fallait retrouver tous els vêtement éparpillés dans la pièce encore chaude de l'aventure de la nuit dernière.

En sortant, un air froid vînt leur glacer les os et il se dirigèrent frigorifié vers la chambre des pokéfan de Robin; en ouvrant la porte, ceux-ci avaient de grande cernes en dessous de leur yeux, il semblerait qu'il n'aient pas dormis de la nuit. En un éclair ceux-ci se levèrent comme des fou, firent rentrés Robin qui avait un visage émerveillé tout en claquant la porte au nez de Jorge. Ils se mirent à dire :

- Oooh ! mon dieu, notre Robin à été massacré.

Le noble barde ne put s'empêcher de demander pourquoi, ayant oubblier le mensonge qu'ils leurs avaient dis hier soir.

- Nous avons entendu vos cris depuis le bas de notre chambre, c'était horrible cela à duré plus de 6 heures d'effilés; heureusement vous êtes encore vivant.
- Nosu devons vous avouez que nosu n'avons pas fermé l'oeil de la nuit en entendant vos hurlement tellement nosu étiosn pris de panique pour vous.
- A nombres de reprises nosu voulions venir vous sauvez; mais nosu nosu sommes souvenu de vos paroles.
- Heureusement ils ont été généreux et ont accepté votre demande.

Le noble Robin se souvenu alros de son mensonge et se mit à prendre un air triste.

- Oui, c'était horrible, j'ai bien cru que mes bourses allaient bruler sous la cire de bougie; et les outils ; et les chiens; et....et....

Il se mit à faire semblant de pleurer quand il se mit à demander d'une voix normal :

- Heu ! quelle demande?

Tous prirent des mines affreuse et l'un dis s'osait à expliquer :

- Et bien au moment où vous avez hurlez : "Non pas sur le visage, pas sur le visage !" Votre beau visage est encore indemne

Intérieurement, Robin se mit à rire de ce quiproquo et à dire :

- Oui, ils ont été très généreux et Jorge a fait en sorte que cela dur moins longtemps; c'est un brave elfe, d'ailleurs nous devrions voir si il est toujours là.

Ils se mirent à sortir et purent voir le diplomate entrain de les attendre; le barde s'approchait de lui en sautillant...

- Excusez cette méprise, allons-nous au château?

En voyant Jorge s'éloigner ainsi, le noble Robin ne put s'empêcher d'éprouver du plaisir; c'était si sexy. Le diplomate revînt alors accompagné de cinq gardes à la mine désespéré. Dans tous les cas, l'elfe sauvage ne cessait de regarder leurs gros muscle tendu et remplit de sueur dû aux éprouvents exercice qu'ils faisaient chaque jours; mais "quel genre d'exercices?" se demandait le barde en se tenant soigneusement la barbe.

- Oui, allons enfin voir le roi que je lui dise mon message en personne.

Robin, en voyant les gardes sur les rempart pleurer de leur départ (alors qu'ils pleuraient de rire); celui-ci sentit une larme venir lui couler sous l'oeil. Tout en essuyant le bas de son oeil, il sortit son Luth et se mit à jouer :

"Oooooohhhh !! doux soldats,
Ne pleurez pas,
Nous partons telle des brebis galeuse,
Vers notre mission glorieuse,

Regardez le ciel pour y apercevoir les anges,
Regardez le et pensez au Noble Robin,
Le Noble Robin chantant dans une grange,
Nu dans le foin..."

Après sa dernière phrase, il s'arrêtait de chanter; il s'était emporter dans l'émotion et la sexualité. Il rangeait donc son Luth pour continuer à marcher sur le chemin sableux; soudain, Jorge lui prit le bras.

- Et bien mon cher Jorge, je trouve vos campagne ma foie merveilleuse. Mais voyez-vous, nous elfes sauvages ne possédons pas de telle étendu plate. Nos territoires sont des forêts à perte de vue; oui, remplit d'arbres avec des troncs long et dur.

- Au faite, sommes-nous bientôt arrivé?

Exaspérée, Xilha écoutait le discourt de Lune de Saule en roulant les yeux. Elle ne supportait pas la lumière du soleil et se déplaçait uniquement a l’ombre, son visage presque entièrement recouvert par Le tissu soyeux de ses vêtements noirs. Même pour des inconnus, elle se démaquait des autres elfes de la nuit par ce qu’elle portait et par le fait qu’on ne voyait presque pas son visage, aussi parce qu’elle avait les poing serrés en permanence et qu’elle se tenait a l’écart des autre.

Les paroles de Lune de Saule firent un peu trop…D’effet à Xilha et qui entama un geste pour prendre une arme, mais qui se ravisa et donna un coup de poing dans un arbre.

-Sauvageonne? Tu te crois supérieure parce que tu es l’Archonte mais regarde ta situation !

Quelques personnes furent surprises de voir qu’elle s’adressait a l’Archonte comme si elle était intimement liées, mais en fait elle ne voulait tout simplement pas lui montrer de respect.

-Regarde ton peuple qui te déteste, regarde ce que tu fais ! Tu te lie avec un peuple dont tu ne sait rien -elle avait fait de gros effort pour de ma dire des « êtres inférieurs »- et tu traîne avec toi quelqu’un qui a voulu te tuer…Et qui le désire encore ardemment.

Puis elle ajouta un peu pour elle-même :

-je ne sais pas ce qui m’empêche de le faire, mais tu doit avoir une bonne étoile, peste.

Parlant d’étoile, elle se rappela avec mauvaise humeur qu’elle préférait de loin les étoiles et a lune a cette chose brillante qui lui donnait mal a la tête. Se remémorant quelques moments passés sous le ciel d’encre, elle se souvint la visite du mystérieux vieil elfe qui lui avait dit quelque chose d’étrange…

« Cela est la clé de ton destin ne le perd surtout pas. La lumière des deux frères réunit ne peuvent dévoiler la vérité que sur les Axes du temps. »

Les deux frères ? Elle ne se connaissait pas de frères…Elle n’y comprenait toujours rien. Elle préféra ne plus y penser pour le moment et décida plutôt de lancer un regard noir a chaque personne qui tentaient de voir son visage a moitié caché sous ses vêtement et ses cheveux aux reflet mauve beaucoup plus intenses sous la lumière du soleil.

(C'était au tour d'Enduril de parler mais vu qu'il ne le fait pas je propose à Neferata ou à Nature de jouer son tour en le fesant qu'en pensez-vous ? Bon, vu que le forum clamse je vais remettre du mouvement...)




Enduril parraissait strèssé devant la foule de Haut-Elfe qui parlait des Elfes noirs, Enduril avait raison, "Son peuple a vraiment peur des Elfes noirs" !
Le alcon sur le quel Robin, Xilha, Enduril et Lune de Saule surplombait la foule, le zénith se reflettait dans les rideaux de cristaux, et Lune de Saule se sentit obligée de parler vu que Enduril était paralysé, donc elle lui adresse un signe de tête implorant mais rien, trop c'est trop !

-Bonjour peuple Haut-Elfe, votre seigneur Enduril, le valet Robin des Elfes sauvages et moi même, souveraine des Elfes de la nuit sommes sur le point de faire une alliance, pour la nourriture, la culture, et bien sûr... la défense contre les soit disant Elfes noirs, veuillez vous calmez car la guerre n'a pas encore éclaté donc silvous-plait, même s'il ne vous plait pas ! Laissez nous mettre au point une alliance pour le bien de nos trois peuples !!!

La voix de Lune de Saule résonna fort dans l'assemblée et tout le monde commença à s'éparpiller, puis Lune de Saule fit une moue surprise quand elle vit les yeux de ses camarades rivés sur elle.

-Et bien quoi, cela vous surprend que j'ouvre ma bouche ? Bon autrement, il faut la faire cette assemblée pour se mettre O.K sur l'alliance, on y va ?


(J'èspère que cela réussira peut-être à remettre le fofo en route !!! )

Xilha suivit les autres, l’air grognon. Le palais des haut Elfes ne ressemblait pas vraiment a celui a l’Archonte, mais qu’est-ce qu’elle en avait a faire ?

Apres quelques minutes de marche – Xilha mémorisait tout les couloir qu’elle pouvait, au cas ou ça lui serait utile plus tard,- elle s’assit le plus loin possible de tout le monde, tournant légèrement le dos à Lune de Saule.

Elle mettait un point d’honneur à lui montrer qu’elle ne l’aimait pas même si elle ne l’attaquait plus.

Elle se surprit à penser qu’elle était beaucoup plus …Civilisée qu’elle ne l’était quelques jours plus tôt. En quelque sorte c’était une bonne chose, puisqu’elle pouvait maintenant être dans un lieu publique sans sauter sur tout ce qui bouge, et ainsi rester plus discrète, mais elle se sentait abandonné, comme si elle avait perdu sa meilleure amie (bien qu’elle n’avait pas d’amis).

Xilha releva légèrement la tête pour regarder le roi des Hauts Elfes qui lui lançait parfois des regards intrigués. Puis il demanda a Lune de Saule pourquoi elle était venue avec sa suivante.

Sa suivante !?

SA SUIVANTE !?! Humpfff ! Xilha sentit la rage monter en elle. C’était donc de ça qu’elle avait l’air ? D’une suivante ? Elle souffla un coup comme un taureau et sentit ses nerfs se calmer.

-Oui, dit-elle, mais je suis une suivante très…Spéciale…Du genre qui ne suit pas et qui sais que l’archonte est d’une incompétence sans égal. Ne vous a-t-elle pas dit que l’une de mes désirs les plus chers est de la tuer ? Où au moins la faire souffrir juste un peu…

-on pouvait sentir l’envi qu’il y avait en elle, un peu comme quelqu’un au régime qui passe devant un gâteau particulièrement succulent.-

Elle tapotait légèrement la table du bout des doigts faisant claquer ses ongles semblables a des griffes.

-Mais. Appelez moi Xilha. M’appeler suivante ou servante ou n’importe quoi d’autre pourrait…me rendre…Mécontente.

Un frisson de nature indéfinissable la parcouru a nouveau, et elle secoua sa longue cascades de cheveux aux reflets multiples.

Lune de Saule faillit exploser de rie mais se retint tout en pensant "Va-y Xilha, pête un cable tu risque de te retrouver entaillé de partout !"
Xilha était une fille exeptionelle, elle pouvait devenir quelqu'un de bien si son instant de tuerie ne serait pas aussi accantué, puis après tout... la suivante... c'était bien aussi ! Non, franchement non, puis enfin, Lune de Saule fut tiré de ses songes par la questions d'Enduril.

-Mon peuple n'est guère enchanté à l'idée de s'allié avec ses anciens énnemis et de se retrouver une nouvelle fois à découvert, car nous aussi, Elfes de la nuit, étions censés être des contes comme les Elfes noirs, personne n'en a jamais vu depuis deux ou trois siècles après tout... Notre couverture était assez bien rodés.
Mais maintenant que les Elfes noirs sont là, nous aussi somme concernés, si ils tuent les Hauts-Elfes et les Elfes sauvages qui eux n'était plus une légende... bien sûr je pense que les Elfes-Garoux sont avec eux, mais si ils vous tuent tous, nous serons un peuple contre deux, vraiment embêtant non ? Et puis nous sommes restés trop longtemps cachés, il fallait crée de nouveaux liens !!!
Ah oui et... Xilha, comme elle vous l'a expliquer si clairement ! N'est pas ma servante mais une aprentie tueuse qui à tuer son maître, une fois, j'ai eu une réaction bizzar, après avoir touché un lotus noir qui m'a révélé le tueur de mon père, quand j'ai touchée Xilha... J'ai eu les mêmes sensations qu'elle, et sur le coup, j'avais envie de tuer tous ce qui m'entourait sauf elle...

Enduril avait ouvert de grands yeux ronds, il devait être très surpris, et maintenant, quelque chose lui échappa et elle sut quoi.

-Vous ne m'avez pas tout racontez sur l'objet de cette alliance de votre côté, il doit y avoir une autre raison qui s'ajoute aux autres, laquelle ?